Habiter une maison sur pilotis pour parer aux crues soudaines de l'Amazone, dans un Tulou en Chine, une forteresse communautaire créée autrefois pour se protéger des assaillants, ou encore habiter sous la terre pour se préserver des chaleurs intenses du bush australien. Autant d'habitats radicalement différents et qui pourtant posent la même question : comment l'homme peut s'approprier un espace pour y vivre en sécurité, en société et surtout en harmonie avec l'environnement qui l'entoure ? Philippe Simay, philosophe de l'architecture nous conduit à travers le monde pour questionner ces manière d'habiter, leurs spécificités et ce qu'il traduise de la relation de l'homme à son lieu de vie. Cet ouvrage fait écho à la série du même nom diffusée par Arte. La 2e saison sera diffusée à partir du 4 février 2019.
La demande des professionnels et des particuliers pour de l'information fiable sur le pisé croit avec l'engouement que connaît l'écoconstruction. Un grand espoir est placé dans cette terre qui jouit déjà d'une place privilégiée parmi les "matériaux d'avenir". Cet ouvrage veut combler le manque d'information sur l'utilisation de cette technique de construction en replaçant le pisé dans son contexte historique et culturel, en analysant la technique de mise en oeuvre et ses évolutions récentes, en donnant les clés pour diagnostique son bâtiment, l'entretenir ou le réhabiliter.
En s'appuyant sur une solide armature théorique qui convoque Adlof Loos, Leberecht Migge, Ivan Illich et André Gorz, cet ouvrage part d'une critique radicale de l'architecture ordinaire et extraordinaire produite par l'industrie globale de la construction et se propose d'examiner les circonstances dans lesquelle émerge un peu partout dans le monde, une alternative qu'il voit comme une «nouvelle architecture vernaculaire».
Architecture naturelle II poursuit la recherche entreprise par Alessandro Rocca dans le premier volume (Actes Sud, 2007), en présentant une série de constructions qui dialoguent directement avec la nature par leur localisation, l'emploi de techniques artisanales, l'utilisation de matériaux naturels et la prise en compte de leurs caractéristiques propres. L'ouvrage nous plonge ainsi dans les réalisations de vingt-deux artistes et architectes ayant travaillé sur cette relation et ses possibles variations.
Au fil des pages, on côtoie des observatoires sur le paysage qui repositionnent l'homme au coeur de la nature, en lui offrant un point de vue nouveau et privilégié sur celle-ci.
On découvre en particulier des macrostructures accessibles, par exemple, pour observer la ville de Venise ou la skyline de New York à partir de Central Park, ce qui procure à l'observateur un sentiment contradictoire de fascination et d'angoisse dû à la hauteur exceptionnelle de la structure et à l'apparente fragilité des matériaux de construction utilisés. On pénètre dans des macro-architectures constituant de grands abris sous lesquels on peut se retrouver, manger, danser, échanger, ce qui permet la redéfinition, la réappropriation et parfois même la réhabilitation d'un espace public par ses habitants.
Ces architectures foncièrement éphémères visent à générer une désorientation de l'observateur ou à reconstituer les fonctions de l'espace urbain en établissant ou en consolidant les liens entre les habitants, tout en apportant un regard nouveau sur l'environnement dans lequel ils vivent et travaillent par le biais de structures implantées dans des paysages tant naturels qu'urbains.
Autre sujet de fascination : la beauté singulière de ces travaux qui se dégage avec force des dessins et des photographies. Les auteurs de ces oeuvres appartiennent à des cultures et des pays divers, de même qu'ils oscillent entre plusieurs courants d'art contemporain : architecture naturelle surtout, mais aussi Land Art, Earth Art, art environnemental, art bio, art conceptuel...
Si l'on en croit sa définition classique, le paysage appartient à l'ordre du visible : il "s'étend sous la vue", à l'intérieur ou à l'extérieur d'un cadre. Parler de paysage du dessous, c'est s'interroger sur les conditions non seulement de visibilité mais aussi d'existence du paysage. Pour le voir, il nous faut les imaginer et c'est ce que vont nous permettre les photographies, les dessins, les peintures, les gravures - dont ce numéro est richement pourvu - mais aussi les récits littéraires et les cartes géologiques. Même les représentations les plus fantaisistes sont à considérer pour nous faire comprendre comment nous habitons la Terre. Cet imaginaire-là est constitutif de notre façon d'habiter. Il en va ainsi de certains mythes, comme celui du Grand Silure au Japon qui a longtemps expliqué les tsunamis et les tremblements de terre. Mais on habite aussi véritablement sous terre : les troglodytes, les SDF dans les métros de New York ou de Paris, ou encore dans les sous-sols de Las Vegas.
Arc en rêve, centre d'architecture à Bordeaux, a imaginé ce projet qui explore les nouvelles manières d'habiter le monde. Face aux mutations planétaires qui bouleversent les conditions de vie, constellation.s repère des initiatives individuelles et collectives qui dessinent des perspectives pour la fabrication de la cité, au regard des défis de demain. Le livre constellation.s invite à la découverte de la création architecturales et convoque les sciences sociales, la philisophie, l'architecture, l'économie pour rendre intelligible le monde que nous habitons.
En étudiant les sculptures du portail récemment restauré de la primatiale Saint-Trophime d'Arles, des historiens et des photographes nous invitent à une exploration historique et iconographique de ce chef-d'oeuvre de l'art roman (fin du XIIe siècle), dont le programme iconographique et l'exécution sont d'une ampleur et d'une originalité rarement égalées en France. Cet ouvrage, qui constitue la réédition intégralement revue et largement augmentée d'un livre paru en 1999, est désormais complété par un deuxième volume présentant l'étude et la restauration du cloître de la cathédrale.
Cette livraison des Carnets du paysage propose d'interroger la relation entre l'homme et l'animal. On y explore les façons dont nous coexistons avec les animaux, dont nos milieux communiquent, se croisent, se superposent ou entrent en conflit, mais aussi quels sont les enjeux et les effets de ces rencontres sur notre propre humanité, sur l'environnement, les paysages, leurs façonnements et évolutions.
Le numéro se décline en trois ensembles :
- «Croisées», du point de vue de l'homme, tour à tour philosophe, artiste, anthropologue, naturaliste, dans sa relation à l'animal, au sein de la nature, à l'affût, à travers le prisme de l'histoire, de la biologie ou de l'écologie.
- «Trajectoires», du point de vue de l'animal, ses traces, ses comportements, ses mouvements, ses trajectoires, et la façon dont l'homme les appréhende, les interprète, pour y donner un sens - artistique, littéraire, scientifique, géographique.
- «Histoires», autour du zoo, un espace singulier de mise en scène et de cohabitation, soulignant le poids symbolique, culturel et social, des animaux, et sa traduction dans le paysage.
Des contributions artistiques ponctuent les différents articles : des planches de Suzanne Doppelt et François Matton, des dessins d'Alain Freytet, des photographies de Jean-Luc Mylayne et de Thibaut Cuisset, des aquarelles de Pierre Alféri.
Les animaux ont suggéré aux humains une infinité d'images, de fables et de mythes ; mais la domestication de certains d'entre eux, ou leur exploitation industrielle, est désormais naturelle, entérinée. Ce processus est profondément marqué par le passage «de la confiance à la domination», selon Tim Ingold, qui étudie les relations homme/animal dans les sociétés de chasseurs-cueilleurs et de pasteurs.
À la fois omniprésents et dissimulés à nos regards, les animaux contribuent à la connaissance de notre vie, de notre biologie, et servent depuis toujours à fabriquer le paysage que nous habitons. Ils forment un univers fourmillant d'acteurs et de bio-indicateurs qui participent pleinement du «brassage planétaire», comme le définit Gilles Clément.
Nos entrevues avec les animaux sont rares. Jakob von Uexküll analyse cette notion de territoire animal, et cette relation entre milieux animaux et milieux humains. Il faut avoir recours à des stratégies particulières pour favoriser la rencontre: l'affût, évoqué par Jean-Luc Brisson; le retour à la nature, raconté par Gilles A. Tiberghien; le suivi des traces animales, des «voies», tel que l'imagine Jean-Christophe Bailly.
Une fréquentation plus étroite peut nous dévoiler des strates et des disponibilités de l'espace qui se redistribuent avec de nouvelles logiques (spatiales, écologiques, paysagères). C'est le cas des abeilles (essaimage expérimenté par Alice Broillard) ou des papillons (voyage géopoétique du Vecteur monarque de Daniel Canty et Patrick Beaulieu). La confrontation avec les animaux est éminemment culturelle. Il s'agit dans bien des cas de se laisser guider devant autant de mises en scène différentes que d'idéologies et de représentations qui les produisent. Particulièrement au zoo, où la conception et l'aménagement ont évolué en même temps que le regard porté par les hommes sur les animaux.
Les Carnets du paysage proposent un dossier sur l'historien et théoricien du paysage américain John Brinckerhoff Jackson (1909-1996), une figure majeure de la pensée paysagère, encore peu connue en France.
Architecture naturelle présente une série de constructions qui dialoguent directement avec le monde de la nature par leur localisation, par les matériaux utilisés et par l'emploi limité de techniques autres qu'artisanales. Ce sont des oeuvres qui tirent parti des ressources d'un lieu, des caractères spécifiques d'un site, ainsi que des processus de croissance et des phénomènes spontanés et accidentels. Elles interrogent notre sentiment de la nature, mettent en cause notre sensibilité et nos préjugés pour suggérer une approche de l'environnement naturel moins conflictuelle et négligente, plus douce et bienveillante. Nous avons voulu convier le lecteur, visiteur de ce petit musée de papier, à faire l'expérience significative d'espaces surprenants, de matériaux bruts, d'odeurs pénétrantes, qui ouvrent de nouveaux axes de réflexion sur la relation que notre civilisation et chacun d'entre nous entretiennent avec la nature. Il est question dans ces réalisations d'écologie, de paysage et d'environnement, abordés avec les moyens de l'art : peu de messages directs, donc, mais une forte capacité à proposer de nouvelles approches, en liaison avec la psychologie, la sensibilité et la culture de l'homme contemporain. Autre sujet de fascination : la beauté de ces travaux, singulière, âpre et souvent inquiétante, que dégagent avec force les dessins, les photographies et les comptes rendus. Les auteurs de ces oeuvres oscillent entre plusieurs courants de l'art contemporain - Art dans la nature surtout, mais aussi Land Art, Earth Art, art environnemental, Bio-art, art conceptuel - et appartiennent à des cultures et des pays divers. On assiste à une forte présence du monde anglo-saxon, contrebalancée par une représentation significative d'artistes originaires du Japon et de presque tous les grands pays d'Europe : Allemagne, France, Italie, Autriche, pays scandinaves. oeuvres de : Jackie Brookner, Gilles Bruni & Marc Babarit, Patrick Dougherty, Chris Drury, Olafur Eliasson, Ex.Studio, Mikael Hansen, Ichi Ikeda, Yutaka Kobayashi, Giuliano Mauri, François Méchain, Architects, David Nash, Edward Ng, Nils-Udo, Sanfte Strukturen, Armin Schubert.
Certains artistes contemporains ont développé leur oeuvre autour et à partir de la question de la nature et de sa préservation. Ces artistes travaillent avec des matériaux naturels, comme la terre, les roches, le bois, l'eau.
Disposant parfois de vastes espaces, ils essaient d'en explorer les possibilités en prenant la terre elle-même comme élément et comme surface d'inscription.
Ce numéro rassemble des analyses et des textes d'artistes, d'intellectuels et d'écrivains qui ont en commun de réfléchir et d'agir sur ce que nous pouvons appeler notre environnement, notre oekoumène, autrement dit la Terre, que nous ne savons peut-être plus vraiment habiter.
Tout n'est pas paysage, mais le paysage est concerné par des questions qui touchent à la nature, à l'espace, à la représentation, à l'écologie, aux usages des éléments et des matières, à la poétique des formes. C'est cette dimension de l'identité du paysage que Les Carnets choisissent d'explorer ici.
Le cloître de Saint-Trophime à Arles, dont les deux premières galeries présentent des sculptures d'une exceptionnelle qualité, constitue un fleuron de l'art roman et gothique en Provence. Daté des XIIe et XIVe siècles, cet édifice propose des thèmes iconographiques riches et variés, mis en valeur par la très récente restauration réalisée par le World Monuments Fund et la ville d'Arles. Cet ouvrage, publié à l'occasion de l'achèvement de ces travaux débutés en 2006, vient compléter une réédition de la très belle étude sur le portail de la primatiale, chef-d'oeuvre incontesté de l'art roman.
tout au long du xxe siècle, les architectes n'ont cessé de réagir aux conséquences de la révolution industrielle en faisant entrer dans le champ de leurs recherches et de leurs réalisations des thèmes et des procédés nouveaux qui avaient en commun de répondre à des objectifs devenus impérieux : l'amélioration de l'équilibre entre l'homme et son environnement urbain, la protection et la mise en valeur des espaces naturels.
aussi, cette écologie architecturale s'est-elle attachée à proposer des alternatives pour : adapter l'architecture urbaine à la croissance démographique de l'ère post-industrielle ; mieux gérer l'extension incontrôlable des villes et de leurs périphéries qui s'était faite au détriment des espaces naturels ; favoriser les économies d'énergies rendues indispensables par les crises pétrolières et les déficits en eau ; participer à la lutte contre les pollutions de tous ordres ; restaurer et réhabiliter les friches industrielles ou les sites naturels endommagés ; contribuer au développement durable en privilégiant les matériaux, les modes de production et les savoir-faire traditionnels et locaux ; respecter les normes environnementales en vigueur, voire contribuer à leur définition ; créer des espaces de vie harmonieux, esthétiques et confortables qui réconcilient l'homme avec son habitat.
parmi les nombreux architectes aujourd'hui engagés dans la défense d'un habitat plus écologique et d'une nature mieux protégée, certains se tournent vers les visionnaires du siècle passé - dont les "excentricités" ont désormais valeur de modèles -, tandis que d'autres proposent, non sans provocation, d'ingénieuses combinaisons de nouvelles technologies et d'expériences avant-gardistes. c'est toute l'histoire de cette intégration progressive des questions environnementales dans l'habitat que retrace cette architecture écologique, outil précieux pour les praticiens et étudiants en architecture, mais également pour tous ceux que concerne l'avenir de notre planète.
Les Carnets du paysage proposent, dans ce n° 27, Archéologies, d'interroger les rapports entre archéologie et paysage.
Pour les paysagistes, l'archéologie est à la fois une discipline scientifique dont ils tirent des informations utiles, une interrogation qui surgit régulièrement dans la pratique du projet et une métaphore qui leur permet de penser le passé des sites, qu'ils considèrent et dans lesquels ils interviennent. Les notions de traces, d'archives du terrain ou de palimpseste sont bien souvent présentes dans leurs discours, mais aussi dans ceux des géographes et des historiens. De façon plus générale, la référence à l'archéologie a permis aux paysagistes de thématiser leur relation à la mémoire des sites, ainsi qu'à la diversité des temporalités qui s'y enchevêtrent, dans la perspective d'une plus grande attention portée à la potentialité programmatique que ces sites contiennent. C'est cet univers de propositions théoriques et pratiques issues de l'archéologie que Les Carnets du paysage se proposent d'interroger.
Il s'agit donc, d'abord, d'analyser les relations, théoriques et pratiques, que les archéologues entretiennent avec les paysages et leur histoire. Comment les archéologues à la fois abordent-ils théoriquement la question du paysage et travaillent-ils concrètement dans les paysages ? Les récents développements de l'archéogéographie ont contribué à redéfinir le champ des interrogations et des enquêtes, et il semble nécessaire d'élaborer et de présenter un état des questions actuellement traversées par les archéologues du paysage. On souhaiterait évoquer, sur quelques «situations» exemplaires («la route», «le végétal», «le territoire», etc.), les questions rencontrées aujourd'hui par les archéologues à propos des paysages.
Mais, symétriquement à l'archéologie des paysages, il s'agit ensuite de décrire et d'interroger les différentes manières dont les paysagistes sont mobilisés par des questions archéologiques. Comment, par exemple, est-il possible de projeter dans ou à partir de sites archéologiques ? Comment peut-on élaborer les paysages des sites archéologiques eux-mêmes ? Sous quelles formes les archéologues interviennent-ils dans les projets, à différentes échelles ?
Dans ce numéro, la revue souhaite en outre envisager l'archéologie comme une métaphore utile pour les paysagistes, c'est-à-dire comme un dispositif à la fois mental et pratique qui leur permet de poser la question des temporalités qui traversent les paysages.
Or, la figure du palimpseste, très - trop ? - souvent mobilisée, doit être actuellement revisitée à la lumière des travaux empiriques et des réflexions théoriques qui ont contribué à remettre en cause les conceptions «linéaires» et «sédimentaires» du temps, utilisées de manière abusive dans l'étude des paysages. On souhaite ainsi mettre en oeuvre et présenter ici une interrogation sur les formes du paysage et leur mode d'historicité.
Depuis quelques années, de nombreux architectes construisent de par le monde avec des moyens extrêmement limités, transformant cette contrainte financière en source de créativité. Les difficultés économiques constatées à l'échelle mondiale, associées à la prise de conscience croissante de la nécessité d'aller vers des constructions plus écologiques, ont permis le développement d'une nouvelle vision de l'architecture, où la sobriété devient séduisante et où les techniques et la créativité des jeunes architectes produisent de nouvelles formes d'habitat : moins opulentes mais plus intelligentes, moins luxueuses mais plus confortables et fonctionnelles. Ce ralentissement de la croissance a donc de fortes chances de favoriser la création d'une architecture d'avant-garde et d'inciter au développement d'un ensemble de recherches expérimentales et novatrices. Celles-ci contiennent peut-être en germe l'esthétique d'une nouvelle architecture qui dominera la scène dans un futur proche: plus écologique, plus durable et plus économe en énergie. Dans cette optique, les concepteurs dépoussièrent, simplifient, innovent, combinent matériaux nouveaux et anciens, refusent les artifices et les décorations superflues. Les bâtiments qui résultent de cette réflexion sont le témoin et la preuve d'une nouvelle mentalité prête à forger un monde différent. Cet ouvrage présente une série d'exemples remarquables de cette architecture. Réalisés dans la plupart des cas avec un budget minimal, ces édifices sont auscultés avec le plus grand soin: l'auteur dévoile les correspondances, dépeint les contextes, met en lumière les inventions originales et les options audacieuses de chaque architecte, en illustrant chaque espace, chaque technique, chaque élément caractéristique de ces constructions par le biais de photographies, d'esquisses et de textes.
En s'appuyant sur une solide armature théorique qui convoque Adlof Loos, Leberecht Migge, Ivan Illich et André Gorz, cet ouvrage part d'une critique radicale de l'architecture ordinaire et extraordinaire produite par l'industrie globale de la construction et se propose d'examiner les circonstances dans lesquelle émerge un peu partout dans le monde, une alternative qu'il voit comme une «nouvelle architecture vernaculaire».
Le troisième numéro de la Re-vue Malaquais est consacré à la diversité des pratiques contemporaines de l'architecture. Placé sous l'égide du laboratoire ACS (Architecture, Culture et Société, XIXe-XXIe siècles), il regroupe dix contributions visant à cerner les contours des acteurs et des modalités de l'exercice de la profession.
Le numéro 4 de la Re-vue Malaquais s'intéresse aux formes que prennent aujourd'hui les figures de l'héroïsme architectural souvent associé aux idéaux avant-gardistes des années 1920 et à leur déclinaison tout au cours du XXe siècle.
Elle regroupe onze contributions d'enseignants-chercheurs et étudiants de l'école, mais aussi des interventions graphiques plus rarement réunies dans la revue :
Dessins et photographies de villes ou d'édifices existants, mais aussi de projets utopiques.